Sortie sur Iracoubo, Organabo avec un petit passage à Awala-Yalimapo.
Présents :
Christophe
Michel J.
Thierry
Samedi 28 avril 2007
Au fond de la piste de Trou Caïman, les restes d’un étrange repas... | |
Même à pied, pas moyen d’aller beaucoup plus loin. | |
Michel, en pleine observation. | |
Christophe cherche lui aussi à voir ce qui se cache dans les frondaisons : un singe ? un perroquet ? un porc-épic ? | |
Sur la piste nous dérangeons des « mouches » à l’allure peu sympathique : cachées sous les feuilles, elles s’envolent lorsque nous touchons les branches, alors gare aux fenêtres ouvertes... | |
À l’occasion d’une petite montée, nous pouvons voir la forêt d’un peu plus haut. | |
Les Lands, sagement rangés. | |
À l’aller, l’eau de cette petite crique ne passait pas au dessus du petit pont. Il y a encore de la marge pour le Land. | |
Il semble que la montée des eaux soit plutôt du goût de ce crapaud-buffle. | |
Les flaques se remplissent et la piste est inondée par endroits. |
Dimanche 29 avril 2007
Dimanche matin, une tortue luth un peu en retard sur la plage d’Awala : elles pondent habituellement le soir à la marée montante. | |
Une fois la ponte terminée, elle regagne la mer... en tâtonnant quelque peu. | |
L’auberge de jeunesse d’Awala-Yalimapo où nous avons passé la nuit en hamac avec Michel, protégé par les indispensables moustiquaires. | |
Christophe, quant à lui, préfère son 90 Td5 « tout confort » ! | |
En repartant nous trouvons un serpent sur la route, que nous pensons tout d’abord écrasé, mais il s’avère finalement qu’il est simplement en train de se reposer, le bitume lui ayant probablement paru plus confortable que les herbes humides avoisinantes. | |
Nous entreprenons une opération de « mise en sécurité », aidés de l’indispensable pelle brésilienne... | |
L’animal s’avère être un anaconda d’un peu plus de deux mètres, il ne manifeste pas trop de résistance à nos manipulations. | |
Le plein à la station service de Mana... fermée. | |
La ballade continue aux environs d’Organabo. | |
La pluie a sculpté le sable blanc évacué par les fourmis pour construire leur fourmilière. | |
La piste, ici encore pratiquable, va bientôt se refermer. | |
Manifestement inutilisée depuis plusieurs mois, la dernière portion de la piste va nous demander pas mal de travail au sabre pour dégager la végétation. Nous n’en sortirons qu’à la nuit tombée. | |
Un passager clandestin... |